Nos tribunes publiées

Vous trouverez ci-dessous, classées par ordre chronologique, les différentes tribunes publiées par chacun de nos groupes ces deux dernières années.

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Tribunes parues dans « Le Mag » N° 97 de novembre 2025
Au Vésinet, la majorité municipale vient une nouvelle fois de se prendre les pieds dans le tapis
(Le Vésinet pour vous).

Lors du conseil du 24 septembre, un nouvel adjoint a été élu… à main levée. Une procédure pourtant interdite par le Code général des collectivités territoriales, qui impose le scrutin à bulletin secret pour toute élection individuelle.

Face à cette irrégularité manifeste, nous avons saisi par écrit à la fois le maire et la sous-préfète de Saint-Germain-en-Laye. À ce jour, seule la sous-préfète nous a répondu, confirmant l’irrégularité du vote et précisant que la délibération litigieuse n’a pas été transmise au contrôle de légalité. Résultat : une élection illégale, nulle et non avenue, soustraite en plus à tout contrôle de l’État.

Après bientôt un mandat complet, on ne peut plus parler de maladresse ou d’oubli : c’est désormais de l’incompétence. La majorité municipale n’a décidément rien appris, ni sur le fond ni sur la forme. Gouverner une ville comme Le Vésinet exige un minimum de rigueur et de respect des règles qui fondent la démocratie locale. C’est, tout de même, ce à quoi les administrés vésigondins sont en droit de prétendre.

S.Cabossioras, B.Burg, G.de Chamborant, M.Nanoux
Coalition des oppositions

Un bilan désastreux
(Le Vésinet notre ville)

Depuis bientôt 6 ans, nous vous informons des projets aussi inutiles que ruineux et mal gérés de l’équipe en place. Nous sommes vos porte-paroles pour faire part de votre mécontentement. Que dire ? Se répéter une fois de plus et constater qu’aucune amélioration n’est en vue.

La sécurité se dégrade encore, ces derniers mois ont vu l’explosion des cambriolages, maintenant des véhicules sont dégradés dans les rues et que dire de l’agression d’un conducteur de bus

Les pelouses et rivières sont toujours à l’abandon.

Les écoles et bâtiments municipaux sont toujours aussi mal entretenus. L’école Pasteur est toujours menacée par la construction d’un bâtiment qui n’a pas sa place près de 2 écoles.

Les finances de la Ville continuent à se dégrader, la gabegie continue, la dette augmente et aucune mesure d’économie n’est envisagée.

Grace à l’union de l’opposition, des commerçants et des associations, les projets du Centre-ville, rejetés par tous, sont interrompus mais il reste encore celui de la rue Thiers dont on ignore l’état. Vont-ils encore jeter de l’argent par la fenêtre à 4 mois des élections pour satisfaire l’égo du maire ?

Le respect de la démocratie imposerait de suspendre tous les projets, les élections seront l’occasion de vous exprimer pour sanctionner tous ceux qui auront été complices de ce naufrage.

B. Grouchko, C. Politis, F. Gluck
Coalition des oppositions

Sécurité routière : l’urgence oubliée
(Gabrielle Carré, Conseillère Municipale Indépendante)

La sécurité routière au Vésinet inquiète chaque jour davantage : excès de vitesse, feux rouges ignorés, stationnements dangereux, traversées périlleuses, deux-roues à pleine vitesse sur les trottoirs; autant de risques qui concernent tous les habitants, piétons et cyclistes. À ce constat s’ajoute un retard préoccupant dans l’aménagement de pistes cyclables dignes de notre ville-parc et en phase avec notre époque.

Ce déficit de sécurité n’est pas une fatalité. Il résulte des arbitrages du maire, qui a fait le choix de concentrer ses efforts sur la verbalisation du stationnement, plutôt que sur la sécurité routière. D’ailleurs, l’effort a été délégué à un prestataire, ce qui prive la ville du lien direct et privilégié entre habitants et agents, lien pourtant essentiel à la vie locale et à l’âme de notre ville. Pendant ce temps, les contrôles routiers et les sanctions des comportements dangereux restent trop rares.

Dans chacun des quartiers, les Vésigondins se sentent abandonnés. Ils attendent une stratégie ferme et cohérente: une présence accrue et visible de la police municipale, des contrôles réguliers des infractions routières, des aménagements protecteurs autour des gares et des écoles, des pistes cyclables, un éclairage public rassurant.

La sécurité routière, cette urgence oubliée, doit redevenir une priorité absolue; c’est une question de responsabilité.

Gabrielle Carré
Membre de la coalition des oppositions

Handicap : respectez la loi !
(Agissons autrement pour Le Vésinet)

Nous avons célébré, cette année, le 20ième anniversaire de la loi du 11 Février 2005 pour l’égalité des droits et des chances des personnes handicapées. Cette loi promettait la reconnaissance des droits des personnes en situation de handicap et définissait un certain nombre d’obligations pour les collectivités locales, dont la création d’une commission communale pour l’accessibilité. Celle-ci a notamment pour mission de dresser le constat de l’état d’accessibilité du cadre bâti existant, de la voirie, des espaces publics et des transports, et d’établir un rapport annuel présenté en conseil municipal.

Lors du conseil municipal du 6 février 2025, nous avons fait remarquer au maire qu’il ne respectait pas la loi depuis le début de son mandat. Nous avons ainsi proposé un amendement pour enfin créer cette commission. L’amendement a été voté malgré les réticences du maire.

Depuis, aucune commission accessibilité n’a eu lieu. Pourquoi ? Indifférence ?

Pourtant les sujets sont nombreux : transports, pannes d’ascenseur de la gare RER centre, ascenseur du théâtre du Vésinet, délabrement des trottoirs et des cheminements sur pelouse (fauteuils roulants maculés de boue), accessibilité des ERP, aires de jeux inclusives… Et le maire s’apprête à lancer une rénovation du centre-ville pour laquelle l’avis d’aucune commission accessibilité n’a été sollicité.

J-P Goetschy, C. Poncelet
Membres de la coalition des oppositions

Tribunes parues dans « Le Mag » N° 96 de septembre 2025
Centre-ville : de graves irrégularités dans les marchés publics
(Le Vésinet pour vous).

Après que nous l’ayons alerté sur l’illégalité de réaliser des travaux rue Thiers sans appel d’offre, le maire avait dû reporter les travaux qui devaient commencer en avril.

En juillet, nous avons relevé que la procédure d’attribution du marché de travaux sur le centre-ville était irrégulière, notamment en raison d’une possible rupture d’égalité entre les candidats. A la suite de notre action, le maire a dû déclarer sans suite le marché. Les travaux, qui devaient commencer en septembre, sont de nouveau repoussés.

Un nouvel appel d’offre a été lancé cet été pour tenter de rentrer dans les clous du code des marchés publics.

Cette obstination à vouloir engager la ville sur 8M€ de travaux, qui impacteront gravement la vie du centre-ville, nos commerçants et nos finances, à la veille des élections est déraisonnable, et nous restons mobilisés pour les empêcher.

En parallèle, nous avons appris que le maire a lancé fin juillet une enquête publique pour modifier le PLU afin de construire de nouveaux immeubles de logements sociaux (centre, parc Princesse, îlot des courses, rond-point République). Ce sont ainsi 200 à 250 nouveaux logements qui seraient rendus possibles, par une modification approuvée à la veille des élections, sans aucune visibilité sur l’impact financier et paysager de ces projets.

S.Cabossioras, B.Burg, G.de Chamborant, M.Nanoux

Coalition des oppositions

Le Vésinet et sa tranquillité perdue
(Le Vésinet notre ville)

Cet été a vu une augmentation préoccupante des cambriolages, effractions, vols et trafics.

A cela s’ajoutent les dégradations de biens publics et autres incivilités qui désormais rythment notre quotidien, au point de générer un sentiment d’insécurité grandissant.

Face à la défaillance du Maire, les Vésigondins se sont organisés cet été pour relayer des messages d’alertes auprès de leurs voisins et connaissances sur des boucles WhatsApp dédiées après avoir constaté des intrusions dans leurs jardins et leurs résidences. C’est une première !

Le Vésinet n’est plus la ville paisible que nous connaissions. Le sentiment d’abandon est général.

Les effectifs de la police municipale ont fortement diminué ces dernières années et la couverture en caméras de vidéoprotection est amplement insuffisante et nous n’en connaissons toujours pas l’état de fonctionnement.

Qu’en est-il du souci de protection de ses administrés qui devrait être la priorité du maire ?

B. Grouchko, C. Politis, F. Gluck
Coalition des oppositions

Nos actions pour protéger nos enfants et notre patrimoine
(Gabrielle Carré, Conseillère Municipale Indépendante)

Depuis l’annonce du projet du maire, début 2023, d’installer un foyer d’accueil de 22 logements au 113 bd Carnot, notre coalition, emmenée par Stéphanie Cabossioras, se mobilise.

Les écueils du projet :

  • Sa localisation, en plein cœur du groupe scolaire Cygne-Pasteur et voisin du conservatoire, est inappropriée.
  • Cette parcelle devrait être dédiée à des infrastructures indispensables pour les écoliers.
  • Le projet d’immeuble ne respecte pas le PLU.
  • Le terrain de 1000m2 et sa maison du XIXe siècle de 400m2 ont été bradés. Au prix de vente déjà très bas de 600 000€, il convient de déduire une subvention de 200 000€ versée par la ville au bailleur social et les frais de démolition de 200 000€, soit un prix de vente net de 200 000€.
  • Le versement de la subvention au bailleur social est illégal.

Nous agissons sans relâche aux côtés des parents d’élèves et des riverains pour obtenir l’annulation du projet :

  • Recours contentieux contre le permis de construire qui a permis de geler le projet
  • Recours contentieux pour obtenir la restitution de la subvention versée par la ville
  • Pétition (700 signatures)
  • Manifestations

Nous rappelons notre attachement à l’accueil des personnes en difficulté. Mais la légèreté avec laquelle ce dossier a été mené met en péril la sécurité des enfants et sacrifie le patrimoine communal. Nous restons fermement mobilisés.

Gabrielle Carré
Membre de la coalition des oppositions

Le maire a cramé la caisse
(Agissons autrement pour Le Vésinet)

La trésorerie est passée de 6 M€ (fi n 2019) au strict minimum nécessaire pour assurer le fonds de roulement en 2025.

La dette est passée de 10 M€ (fi n 2019) à un montant estimé à plus de 16 M€ à fi n 2025. Environ 13 M€ d’emprunts nouveaux auront été contractés par le maire pendant sa mandature.

Pour quoi faire ? :

  • Payer les 5 M€ de surcoûts du projet ZAC Princesse, dont il a été incapable de maîtriser les coûts et les délais.
  • S’offrir une maison médicale à 2,5 M€, alors que l’ancienne était fonctionnelle, et que la nouvelle ne comprend pas plus de praticiens que l’ancienne.
  • S’offrir plus de 3 M€ de frais d’études, qui n’ont pour l’instant débouché sur rien.

J-P Goetschy, C. Poncelet
Membres de la coalition des oppositions

Tribunes parues dans « Le Mag » N° 95 de juin / juillet / août 2025
Projet d'aménagement du Centre-Ville: report des travaux suite à l'action des oppositions
(Le Vésinet pour vous).

Centre-ville : À la suite de l’inscription au budget d’une subvention qui n’a pas encore été attribuée, avec nos collègues des autres groupes d’opposition, nous avons saisi le Préfet et la Sous-Préfète afin de les informer :

  • de l’insincérité du budget,
  • de nos doutes sur la légalité des contrats en cours et à venir,
  • de la nécessité de soumettre le projet à la population et de recueillir ses observations avant de lancer ce projet.

Par ces démarches, nous avons obtenu l’absence de démarrage des travaux rue Thiers au mois d’avril et l’absence de publication d’un appel d’offre fin mai pour ces travaux du centre-ville.

Cette opération comporte plusieurs enjeux :

  • Restaurer un dialogue constructif avec toutes les parties prenantes, les commerçants, les riverains et les associations. Après trois manifestations, et une situation de blocage, c’est un impératif absolu pour un projet viable.
  • Il est nécessaire que ce projet soit financièrement ajusté. A plus de 10 millions d’euros, hors place du marché, ce n’est pas réaliste.
  • L’accès au centre-ville, y compris en voiture, doit être préservé pour nos commerçants. Sans eux, il n’y a plus de centre-ville vivant.

Nous restons mobilisés afin d’éviter que des décisions précipitées et non pertinentes soient prises en fin de mandat, engageant la ville pour des années et l’endettant sur plusieurs décennies, comme cela a été le cas avec l’actuelle place du marché.

Stéphanie Cabossioras, Bertrand Burg, Guillaume de Chamborant, Martine Nanoux
Coalition de l’opposition

L’amateurisme du projet du centre-ville …
(Le Vésinet notre ville)

L’équipe majoritaire s’engage en fin de mandat dans la rénovation du centre-ville, un investissement estimé à ce jour à 12,5M€. Ce projet est très contesté par la population, par les associations de commerçants et par les principales associations de défense du site du Vésinet. Des manifestations importantes et sans précédent au Vésinet ont eu lieu le 8 février, le 29 mars et le 24 mai 2025. Non seulement ce projet est contesté par tous, mais il est incompréhensible pour qui s’y intéresse.

Sur le fond : comment concevoir l’aménagement du centre-ville sans décider de l’avenir de la place du Marché ?

Sur la forme : Annonce en début d’année des travaux du centre-ville devant débuter en avril 2025, puis annulation du permis d’aménager le 26 mars, puis dépôt d’un nouveau permis le 24 avril et appel d’offres pour la réalisation de ces travaux à fin juin 2025… Annonce d’un appel à manifestation d’intérêt en 2024 pour le sous-sol de la place du marché, puis annulation de la procédure en avril 2025 !

Une telle cacophonie n’a pas d’égale de mémoire de Vésigondins. Mais on se souvient tous que les travaux très contestés de la place du marché en 2007, conduits en toute fin de mandat, abandonnés ensuite par le nouveau maire en 2008, ont conduit à un endettement de 22M€, que l’on paye encore à ce jour, et qui a coûté à chaque foyer fiscal plus de 3000€.

B. Grouchko, C. Politis, F. Gluck
Coalition de l’opposition

Maison médicale : une gabegie à 2,6 millions d’euros
(Gabrielle Carré, Conseillère Municipale Indépendante)

Pourquoi dépenser 2,6 millions d’euros quand on a déjà ce qu’il faut ?

C’est la question que pose le projet de la nouvelle maison médicale piloté par le maire du Vésinet. Alors que notre ville disposait déjà d’une maison médicale pleinement fonctionnelle, inaugurée sous l’ancienne mandature en 2020, et animée par dix professionnels de santé, dont 4 médecins, la municipalité a décidé de la fermer pour en ouvrir une nouvelle.
Motif ? Des problèmes d’insonorisation. 2,6 millions d’euros d’argent public ont donc été dépensés pour acheter et aménager de nouveaux locaux.

Et pour quel résultat ?

Après des mois de retard, la nouvelle maison médicale a ouvert fin 2024 avec douze cabinets flambant neufs. A ce jour, seuls cinq cabinets sont occupés… par les mêmes professionnels déjà en exercice dans l’ancienne maison. Le maire n’a réussi à attirer aucun nouveau médecin. Pendant ce temps, à 1 km de là… la nouvelle maison médicale de Croissy compte neuf professionnels de santé, dont cinq médecins. Cherchez l’erreur.

Et l’ancienne maison ?

Elle n’est guère entretenue, pas même nettoyée, mais fonctionne encore. Elle n’accueille plus qu’un seul professionnel non transféré, contre toute logique.

Ce dossier illustre une gestion dispendieuse et inefficace de nos ressources. Il est temps que des choix raisonnés, utiles aux habitants, remplacent ces projets coûteux et mal ficelés.

Gabrielle Carré
Membre de la Coalition de l’Opposition

La situation financière du Vésinet est alarmante, nous sommes au bord du précipice.
(Agissons autrement pour Le Vésinet)

Les dépenses de fonctionnement ont augmenté de près de 25 %, pendant cette mandature. De ce fait, malgré une augmentation significative du taux d’impôt foncier, l’excédent annuel du budget de fonctionnement, destiné aux investissements, a fondu pour passer de 5,6 M€ lors de la mandature précédente à 3 M€ en moyenne pendant cette mandature.

C’est très insuffisant pour, à la fois, rembourser le capital de la dette, réaliser les investissements récurrents d’entretien de la ville, financer les surcoûts des projets du mandat (ZAC Princesse, Crèche du centre, Maison médicale…), et payer les innombrables et bien inutiles études. Cela a conduit Monsieur le maire à vider la trésorerie (6 M€ au début de la mandature), à contracter de nouveaux emprunts (presque 13 M€ en incluant l’année 2025), à rééchelonner les emprunts existants au début de sa mandature, à vendre du patrimoine (1 M€ en 2025), et surtout à sous-investir dans l’entretien courant de notre ville, tout en augmentant les impôts fonciers.

Aujourd’hui, il se prépare à lancer un projet d’aménagement du centre-ville, extrêmement coûteux, entièrement financé par de la nouvelle dette (hormis une hypothétique subvention de la région de 1 M€).

Cette fuite en avant doit cesser. Nous risquons la faillite.

J-P Goetschy, C. Poncelet
Membres de la Coalition de l’Opposition

Tribunes parues dans « Le Mag » N° 94 d’avril / mai 2025
Posons les bases pour construire l’avenir
(Le Vésinet pour vous).

En ce début de printemps, nous souhaitons partager nos motifs d’inquiétude mais aussi d’espoir. Inquiétude quant aux travaux démesurés du centre-ville, prévus pour plusieurs années et pour plus de 10 millions d’euros, non financés à ce jour. Dans un but électoraliste, malgré deux manifestations, l’opposition des commerçants concernés dont nous partageons le désarroi, et des associations, il a été décidé d’entamer au mois d’avril ces travaux rue Thiers, sans mise en concurrence, comme cela a été annoncé en réunion publique, en violation des règles des marchés publics. Une absence d’écoute et de concertation, un choix inopportun, un financement incertain, une procédure juridique douteuse, c’est typique de l’actuelle majorité.

Espoir ! car au terme d’un travail patient que nous avons mené depuis 5 années, l’opposition se rassemble autour d’objectifs et d’idées communes. Nous travaillons dorénavant de concert avec les groupes le Vésinet notre ville, Agissons autrement pour le Vésinet, Gabrielle Carré, et enfin Martine Nanoux qui a rejoint notre groupe. Nous préparons ensemble les conseils municipaux, menons des actions communes, échangeons sur les perspectives de la ville.

C’est en rassemblant les compétences variées des élus, sans exclusive, mais autour de projets concrets que nous entendons maintenant poursuivre notre action.

Stéphanie Cabossioras, Bertrand Burg, Guillaume de Chamborant, Martine Nanoux
Coalition de l’opposition

Union
(Le Vésinet notre ville)

Les élections municipales en 2020 ont donné lieu à une multiplicité de candidatures issues de l’opposition au sein du conseil municipal de l’époque. Les Vésigondins, ne comprenant pas ces divisions, ont dispersé leurs votes pour in fine élire une équipe neuve, sans expérience, dirigée par le maire actuel, qui d’ailleurs revendiquait fièrement ce caractère.

Le résultat ne s’est pas fait attendre. Alors que les finances de notre ville s’amélioraient depuis plusieurs mandats, la dette de la ville est violemment repartie à la hausse depuis 2022. Des projets souvent farfelus, non financés, sont étudiés à grand renfort de dépenses d’études. Le Vésinet n’est plus entretenu, sa sécurité et sa qualité de vie se dégradent. Pour arrêter ce naufrage, les oppositions au sein du conseil municipal, rejointes par des conseillers de la majorité, ont œuvré depuis 5 ans pour parler d’une seule voix, freiner et dénoncer les dérives des finances de la ville.

C’est chose faite, les conseillers municipaux Bertrand Burg, Stéphanie Cabossioras, Gabrielle Carré, Guillaume de Chamborant, François Gluck, Jean-Paul Goetschy, Bernard Grouchko, Martine Nanoux, Catherine Politis et Catherine Poncelet parlent désormais d’une seule voix (1/3 des conseillers municipaux, ayant obtenu près des 2/3 des votes des Vésigondins en 2020), et représentent maintenant, pour les Vésigondins, une équipe solide et unique rassemblée par Stéphanie Cabossioras.

B. Grouchko, C. Politis, F. Gluck
Coalition de l’opposition

Face à la gestion défaillante de la ville, les élus des groupes minoritaires forment la coalition de l’opposition
(Gabrielle Carré, Conseillère Municipale Indépendante)

Tandis que le maire se voit contraint de creuser l’endettement pour financer le fonctionnement courant de la ville, en 2025 les dépenses inconsidérées auprès de prestataires en tous genres continuent à s’accumuler. Ces dépenses superflues témoignent d’une gestion inconséquente. Qu’on en juge:

  • 365 000 euros supplémentaires en études pour l’aménagement du centre-ville (hors place du marché)
  • 300 000 euros pour un revêtement en copeaux de bois dans une cour d’école
  • 178 000 euros pour le prestataire en charge de la verbalisation
  • 133 000 euros de dépenses de communication
  • 60 000 euros de frais d’avocats
  • 50 000 euros de surcoût lié à la tondeuse thermique tractée par des chevaux
  • 35 000 euros pour un consultant qui analyse les projets padel et bowling (hors aspects techniques).

Cette propension à dépenser sans compter l’argent des Vésigondins fait partie des raisons pour lesquelles j’avais décidé, il y a deux ans, de quitter l’équipe majoritaire. Depuis lors, je travaille de manière constructive avec Stéphanie Cabossioras et son équipe; j’ai ainsi rejoint la coalition de l’opposition qu’elle a constituée. Nous sommes à présent dix élus à travailler ensemble, avec une vision commune pour l’avenir de notre ville. Nous sommes unis, engagés, et menons nos actions au service des Vésigondins.

Gabrielle Carré
Membre de la Coalition de l’Opposition

La spirale de la dette
(Agissons autrement pour Le Vésinet)

A fin 2019, la dette était de 10 M€, pour un coût total (intérêts compris) de 12 M€. A fin 2024, elle est de plus de 14 M€ (coût total de 18 M€). Entre-temps, 5 M€ ont été remboursés, mais 9 M€ ont été empruntés pour financer les surcoûts des travaux de la ZAC Princesse, de la Maison Médicale et de la Crèche du centre. La trésorerie est, quant-à-elle, passée de 6 M€ (fin 2019) au strict minimum nécessaire pour assurer le fonds de roulement, malgré une augmentation significative du taux d’impôt foncier. Pourtant rien n’a été accompli pour préserver et valoriser notre patrimoine. Notre ville, notre voirie, nos espaces verts ne sont plus guère entretenus. En 2025, la dette continuera d’exploser : 3 M€ d’emprunts nouveaux sont actés, 2 à 3 M€ d’emprunts additionnels sont probables. Au-delà de 2025, le projet d’aménagement du centre-ville du Maire devra aussi être financé par plus de 10 M€ de dette supplémentaire. Monsieur le Maire, on ne peut plus se permettre de dépenser sans compter. Dépenser près de 500 000 €, pour juste rénover les trottoirs de la rue Thiers et poser des pavés, n’est plus acceptable. A quel besoin urgent cela répond-il ? C’est d’autant plus affligeant que vous ne prenez même pas la peine de passer par un appel d’offres spécifique pour minimiser les coûts, alors que rien ne presse.

Vos emprunts d’aujourd’hui sont nos impôts de demain !

J-P Goetschy, C. Poncelet
Membres de la Coalition de l’Opposition

Tribunes parues dans « Le Mag » N° 93 de février / mars 2025
Bienvenue à Martine Nanoux dans notre groupe !
(Le Vésinet pour vous).

Nous sommes heureux d’accueillir un nouveau membre dans notre groupe Le Vésinet pour Vous. Martine Nanoux est conseillère municipale depuis 2020 et s’est impliquée dans le suivi des politiques sociales et de santé de la ville. Cette arrivée en provenance du groupe Agir pour Le Vésinet conforte la réunion des oppositions autour de la coalition formée depuis le début du mandat entre les 3 groupes Le Vésinet pour Vous, Le Vésinet Notre Ville et Gabrielle Carré. Depuis 5 ans nous préparons les conseils municipaux ensemble, échangeons nos vues, informons les habitants avec des tracts communs et soutenons les actions des habitants avec nos moyens (recours, participations aux groupes de travail citoyens, pétitions). Cette union constitue un contrepoids crédible aux actions du maire qui dégradent et endettent Le Vésinet depuis 5 ans et nous engagent dans un projet hasardeux sur le centre-ville. Elle constitue un socle pour construire Le Vésinet de demain au service des habitants et faire rayonner notre ville-parc dans un contexte budgétaire maîtrisé. Nous saluons également la création du nouveau groupe municipal Agissons autrement pour Le Vésinet, formé par nos collègues Jean-Paul Goetschy et Catherine Poncelet dont les contributions au conseil municipal et l’engagement au service des Vésigondins depuis plusieurs années doivent être salués. Meilleurs vœux pour cette nouvelle année à tous nos concitoyens.

Le Vésinet pour vous
S. Cabossioras, B. Burg, G. de Chamborant

Chers tous, en ce début d’année 2025 nous vous présentons nos meilleurs vœux de santé, de bonheur et de réussite dans vos projets
(Le Vésinet notre ville)

Nous aurions aimé nous réjouir avec vous d’une nouvelle année à vivre au quotidien dans notre ville du Vésinet, hélas ! notre inventaire est bien alarmant.

L’ascenseur du RER Vésinet Centre est toujours en panne,

Les chiens courent toujours en liberté dans le parc alors que la loi exige qu’ils soient attachés,

Les poubelles débordent et les pelouses sont jonchées de papiers gras et autres détritus, alors que les pique-niques sont interdits par arrêté municipal,

Les autos sont toujours stationnées impunément sur les banquettes anglaises alors que nous payons près de 70000€ pour leur entretien,

Les trottoirs sales et défoncés,

La verbalisation à outrance est en revanche de mise au centre-ville qui n’a jamais été aussi désert, les automobilistes allant faire leurs achats dans des villes plus accueillantes,

Les commerces sont en grande difficulté et ne reçoivent aucun soutien de la municipalité va aggraver la situation en supprimant des places de stationnement,

La dette de la Ville qui augmente en flèche avec une mise sous tutelle en vue,

La fermeture de crèches les unes après les autres.

Nous aurions tellement aimé être optimistes pour 2025 mais comment l’être avec un maire qui ment et qui a failli depuis 5 ans, notre Ville est tellement dégradée !

Le Vésinet Notre Ville
B. Grouchko, C. Politis, F. Gluck

Petit à petit vous abîmez notre ville
(Gabrielle Carré, Conseillère Municipale Indépendante)

C’est la place du marché… que vous abîmez. Vous avez abandonné tout projet structurant pour cette place, qui pourtant était au cœur de votre programme. Vous avez installé des guinguettes provisoires et vous n’irez pas plus loin. Notre ville, ce sont nos commerçants…dont vous menacez la survie, avec le projet de suppression des places de stationnement ; avec des travaux en ville en plein mois de décembre; avec votre inaction qui mène à la fermeture de nombreux commerces, dont la maison de la presse – un choc pour de nombreux habitants. Notre ville, c’est une âme…que vous éteignez; nos policiers municipaux, qui connaissaient les habitants et verbalisaient avec discernement sont remplacés par un prestataire privé – dont le coût annuel est de 150.000 euros. La verbalisation à outrance qui s’ensuit contribue elle aussi à l’étranglement des commerces.

Notre ville, c’est aussi notre cadre de vie…que vous abîmez chaque jour un peu plus; les armoires techniques sont grossièrement bariolées; la voirie est laissée à l’abandon – à vélo attention aux nids de poule ! Notre ville enfin, ce sont des finances… que vous compromettez gravement, en lançant en fin de mandat un projet de réaménagement du centre à 10 millions d’euros. Il n’a pas même démarré que déjà plusieurs millions d’euros ont été empruntés. Petit à petit vous abîmez notre ville, elle est d’une tristesse terrible, elle se meurt à petit feu.

Gabrielle Carré

2025, année de tous les dangers
(Agissons autrement pour Le Vésinet)

Deux projets d’aménagement du sous-sol de la place du marché, autour d’activités sportives et culturelles, sont en cours d’études. Un permis d’aménager, concernant la rénovation de la place de l’église et de la rue Thiers, a été déposé en décembre. Des travaux substantiels sont prévus dès cette année. 23 ans après la destruction de la patinoire par un incendie, 17 ans après l’élection/référendum qui a conduit à arrêter la construction d’une nouvelle patinoire, avec une place du marché provisoire depuis quinze ans, on veut nous imposer, en dernière année de mandat, un projet flou, suscitant des oppositions sur de nombreux sujets. Avec un coût global estimé à 11 millions d’euros, financés par de la dette, la ville serait engagée pour de nombreuses années. Nous appelons monsieur le Maire à ne pas lancer les travaux prévus et à entamer une réelle concertation citoyenne permettant de construire un projet global incluant le dessus et le dessous de la place du marché, compatible avec les ressources fi nancières de notre ville. Nous sommes prêts à participer à son élaboration. Si, à l’issue de cette concertation, aucun projet ne faisait consensus, il serait sage de laisser les électeurs décider, en 2026.

Évitons de renouveler un aller-retour désastreux comme en 2008 pour les travaux de reconstruction de la patinoire !

Nous vous adressons nos meilleurs vœux de santé et de bonheur pour 2025.

Agissons autrement pour Le Vésinet
J-P Goetschy, C. Poncelet

Tribunes parues dans « Le Mag » N° 92 de décembre 2024 / janvier 2025
Bruno Coradetti et Anne Vicq-Appas renvoyés à leurs études
(Le Vésinet pour vous).

Les bétonneurs ne pourront pas mener leur projet de banalisation de notre ville comme ils l’avaient prévu. L’entreprise de surdensification de l’îlot des Courses, de l’îlot République et du Parc Princesse vient de subir un sévère coup d’arrêt par la Mission régionale d’autorité environnementale d’Ile de France. L’avis, de la MRAe mentionne :

  • l’absence de mesure visant à éviter ou réduire l’incidence du bruit sur la population susceptible de venir s’installer sur les îlots des Courses et République,
  • l’absence de prise en compte de l’exposition aux pollutions atmosphériques générées par le trafic routier à proximité des deux îlots,
  • l’absence de prise en compte des enjeux liés aux arbres et à l’imperméabilisation des sols.

En conclusion de la MRAe, « la modification telle qu’elle a été présentée est susceptible d’avoir des incidences notables sur l’environnement et la santé humaine ».

Concernant l’îlot des Courses, nous avions déjà gagné un recours. Les bétonneurs persistent ; on regrettera que le maire et son adjointe ne prennent pas plus à cœur la défense de notre site patrimonial remarquable.

Nous vous souhaitons de belles fêtes en cette fin d’année.

Le Vésinet pour vous
S. Cabossioras, B. Burg, G. de Chamborant

Une nouvelle fois, le maire prend les problèmes à l’envers !
(Le Vésinet notre ville)

Pour son projet d’aménagement du centre-ville, l’équipe municipale souhaite diminuer drastiquement les places de stationnement, stationnement pourtant indispensable à la survie de nos commerçants, sans travailler sérieusement la question de l’affectation du sous-sol de la place du Marché. *

Le maire décide maintenant de placer en DSP (faire exploiter par une société privée) le parking de la place du marché et du théâtre, pour au minimum une décennie, toujours sans se poser la question de ce que l’on fait du sous-sol de la place du marché.

Certainement à la recherche d’argent frais pour rééquilibrer les finances de la ville mises à mal par les dépenses irréfléchies de son équipe, le maire ne prend toujours pas de décision sur la rénovation de la place du Marché et de son sous-sol, mais il empêche désormais ses successeurs de le faire, sous peine de pénalités de rupture de contrat dissuasives.

Il ne reste plus qu’à espérer que personne ne répondra à cet appel à candidature !

Nous vous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année et restons à votre écoute.

* rue Thiers : piétonne – place de l’Eglise : végétalisée, aucune place de stationnement – rue du Maréchal Foch : 6 places de stationnement restantes – place de la Gare : uniquement dépose minute… sources : site de la Ville) 

Le Vésinet Notre Ville
B. Grouchko, C. Politis, F. Gluck

Astrid-art de vivre met en lumière l’histoire du Vésinet
'Gabrielle Carré, Conseillère Municipale Indépendante)

A l’approche des fêtes de Noël, nous mettons à l’honneur nos commerçants, acteurs essentiels de notre vie collective; parmi eux, Astrid-art de vivre, située rue Thiers, au cœur du Vésinet, fait partie de ces endroits chaleureux qui contribuent à faire vivre notre centre-ville. Son histoire est celle d’une Vésigondine qui a eu envie d’ouvrir une boutique dans laquelle on s’y sent comme à la maison ; mais pas n’importe où, au Vésinet et nulle part ailleurs.

Elle fait briller l’histoire du Vésinet à travers une collection de bougies qu’elle a elle-même créées. Elles sont le fruit d’un long travail, tout a été choisi avec minutie: les partenaires – tous français – pour la cire, les senteurs et les contenants, jusqu’aux prénoms, inspirés de figures emblématiques du Vésinet.

Astrid vous présente Alphonse, Joséphine et Marguerite  ! Alphonse, est bien sûr un clin d’œil à Alphonse Pallu; ses senteurs de pin, d’eucalyptus et de muscade nous transportent en forêt. Joséphine, avec ses notes d’agrumes, pleine de dynamisme, est à l’image de Joséphine Baker. La bougie Marguerite rend hommage à l’une des filles du fondateur du Vésinet; elle incarne la nature en fleurs, avec ses senteurs de bergamote, giroflée et fleurs de troène.

La santé de nos commerces est essentielle; nous avons envie de les voir prospérer. Pour nos achats de Noël, pensons à tous les commerçants de notre ville.

Gabrielle Carré

Tribunes parues dans « Le Mag » N° 91 de septembre / octobre 2024
Jamais nous n’aurons connu un maire aussi malveillant
(Le Vésinet pour vous)

Durant sa campagne, Bruno Coradetti s’était engagé à instaurer un climat apaisé à la mairie et auprès de la population. Nous pouvions légitimement nous attendre à la mise en place d’une action politique constructive, transparente, respectueuse des élus, et des administrés, répondant aux attentes des Vésigondins. Force est de constater qu’il n’en est rien. Six mois après les dénonciations calomnieuses du maire dont avait été victime un de nos colistiers, Bruno Coradetti a récidivé en engageant une procédure d’exclusion du Conseil Municipal à l’encontre d’un autre conseiller municipal durant la trêve estivale. Dans la plus grande lâcheté, le maire a saisi le tribunal administratif, sans en informer l’intéressé et sans même chercher à comprendre les motifs pourtant justifiés de son absence à l’un des deux tours des élections législatives. Ces agissements ne peuvent masquer l’échec d’une politique menée à huis-clos entre quelques conseillers de la majorité, dans la plus grande opacité : aucun dialogue avec l’opposition, un endettement abyssal, un Vésinet à l’abandon et un projet de rénovation du centre-ville non financé, mené contre l’avis des associations et des Vésigondins. Nous sommes déterminés à continuer notre engagement pour préserver la ville des conséquences de ces actions irréfléchies. En ce mois de septembre, nous souhaitons une bonne rentrée à tous.

Le Vésinet pour vous
S. Cabossioras, B. Burg, G. de Chamborant

Honte au maire du Vésinet
(Le Vésinet notre ville)

Monsieur Coradetti a donc si peu confiance en lui et en son équipe qu’il utilise des méthodes indignes d’un premier magistrat de la ville pour se débarrasser d’un rival ! Profiter de l’été pour faire révoquer en son absence par le Tribunal Administratif le conseiller municipal Bernard Grouchko, ancien Maire du Vésinet, pour absence en tant qu’assesseur au bureau de vote, sans même vérifier si les motifs de l’absence étaient justifiés.

Et ils l’étaient, puisque comme chacun sait, ces élections n’ont pas été anticipées, et que Bernard Grouchko avait informé de son indisponibilité, se devant d’assister de longue date à une commémoration d’une « Juste parmi les Nations » dans l’Allier qui avait sauvé sa famille pendant la 2ème Guerre Mondiale.

Ignorer les simples règles de courtoisie élémentaires, s’appuyer sur un tribunal administratif pour “dégager” un opposant trop gênant pour son bilan. Voilà le maire que nous avons au Vésinet !

Pas de courage, pas de vision, pas de projets, seulement de la mesquinerie et de la petitesse.

C’est fatigant, inepte, et pendant ce temps les déficits se creusent, les services aux habitants se réduisent comme une peau de chagrin, les impôts augmentent et rien ne se fait : Le Vésinet est laid, sale, sinistre, les commerces ferment, les villes alentour prospèrent et avancent …

Note : Bernard Grouchko fera appel de cette décision et continuera à siéger au conseil municipal.

Le Vésinet Notre Ville
B. Grouchko, C. Politis, F. Gluck

Places en crèche : le vrai bilan
(Gabrielle Carré, Conseillère Municipale Indépendante)

L’équipe municipale se flatte de la création de 25 nouvelles places à la crèche des Lutins, renommée crèche Centre. Cette ouverture est en fait un trompe-l‘œil ! 20 berceaux y existaient déjà en début de mandat, avant d’être supprimés par l’équipe actuelle pour cause de travaux (dont le coût s’est élevé à 1,5 millions d’euros), pour être finalement rétablis. Au sein de cette crèche, seules 5 nouvelles places peuvent donc être mises à l’actif du maire.

En parallèle, le maire a décidé au printemps de fermer 2 des 7 crèches de la ville : la crèche Sully (quartier République) et la crèche des Erables (quartier Princesse), qui comptaient respectivement 12 et 25 berceaux. 37 berceaux ont ainsi disparu. De surcroît, la municipalité a perdu 15 places à la crèche des Petits Maraîchers, crèche intercommunale partagée entre Chatou, Montesson et Le Vésinet. Les familles vésigondines n’y ont plus droit, désormais, qu’à 5 berceaux sur les 60 que compte la crèche.

Ainsi, en dépit des annonces, les chiffres sont têtus et vérifiables : alors que les familles vésigondines disposaient de 253 berceaux en début de mandat, aujourd’hui elles ne peuvent plus compter que sur 206 places. En fait de création, l’équipe actuelle a supprimé 47 berceaux, soit une diminution de 20%, tandis que dans le même temps, la population augmentait de 10%.

On ne peut que déplorer ce manque de considération envers les familles de notre ville.

Gabrielle Carré

Tribunes parues dans « Le Mag » N° 90 de juin / juillet / août 2024
Non à la fermeture de crèches !
(Le Vésinet pour vous)

Les familles du Vésinet ont eu récemment la mauvaise surprise d’apprendre par courrier de la mairie que 2 crèches allaient fermer définitivement cet été et que leurs enfants étaient, au mieux, relocalisés dans des crèches parfois éloignées de leur domicile :

  • Les Erables dans le quartier Princesse, avec ses 25 places, alors même que des centaines de familles ont emménagé dans le nouvel éco-quartier,
  • La crèche Sully, au rond-point République, et ses 12 places, va également fermer alors même qu’il s’agit d’une zone dense.

Au total, cela représente 37 places en crèche fermées sur les 218 disponibles au Vésinet.

L’extension de la crèche Princesse, qui avait déjà été payée à la ville par l’aménageur de la ZAC Princesse en prévision de l’arrivée des nouvelles familles, a été abandonnée par le maire. 35 places en moins.

Enfin, la rénovation de la crèche Centre, qui a déjà pris des mois de retard et coûté 3 fois plus cher que ce qui était prévu (1,5 M€ contre 500 000 €), devrait être finie pour la rentrée de septembre, mais rien n’en est moins sûr et surtout elle ne contient que 25 places.

Et après ? La mairie envisage de privatiser les 2 crèches fermées, sans pour autant en informer qui que ce soit, dans un contexte où les dépenses de fonctionnement ont augmenté de 25 % en 4 ans, où la dette municipale a augmenté de 11 M€ en 3 ans à cause d’une mauvaise gestion de l’équipe municipale.

Le Vésinet pour vous
S. Cabossioras, B. Burg, G. de Chamborant

Des millions pour réaménager la rue Thiers
Le Vésinet notre ville

Pourquoi dépenser des millions pour réaménager la rue Thiers et l’arrière de l’Église Sainte-Marguerite alors que la majorité des Vésigondins veut en priorité une place du Marché rénovée, accueillante et un parking accessible et fonctionnel.

Le seul projet de cette équipe municipale est d’éventrer la rue Thiers et de supprimer la majorité des places de stationnement rue Foch, place de l’Eglise et place de la Gare.

Seuls les piétons et les cyclistes pourront accéder au centre-ville, tant pis pour les personnes éloignées du centre, âgées ou malades pour qui se déplacer à vélo est impossible, tant pis pour les personnes handicapées, pour les mères de famille, pour les clients de passage qui ne pourront plus s’arrêter, tant pis surtout pour les commerçants qui voient déjà autour d’eux des boutiques fermer.

Les commerçants justement ! pour la plupart, ils n’ont jamais vu le Maire, et encore moins d’élu délégué. Personne n’est venu leur demander leur avis, alors que ce sont eux qui animent notre ville, qui nous connaissent et nous dépannent, qui pendant la période covid, livraient les personnes âgées sans compter leur temps. Certains ont été informés du projet par leurs clients.

Ce sont eux les principaux concernés par ces réaménagements ! c’est de leur survie qu’il s’agit !

Pourtant aucune concertation et une réunion d’information où ils n’ont pas été écoutés.

Une nouvelle fois le Maire agit contre ses habitants et ses commerçants.

Le Vésinet Notre Ville
B. Grouchko, C. Politis, F. Gluck

Fronde contre le projet d’aménagement du centre-ville
(Gabrielle Carré)

De nombreux Vésigondins, attirés par l’espoir d’un changement, sont venus assister à une réunion organisée par l’équipe municipale sur ce projet. Rapidement, la déception s’est faite ressentir dans l’assistance, tandis que protestations et huées ponctuaient les interventions des élus. En effet, le projet est circonscrit à l’aménagement des rues Thiers et Foch, et des places de l’Église et de la gare et n’inclut pas la place du marché. Il va pourtant coûter 11 millions d’euros. L’assemblée a fortement marqué sa désapprobation. Un administré a même proposé un vote à main levée : « Qui est favorable à l’aménagement de la place du marché en priorité ? ». Nous avons quasiment tous levé la main ! L’annonce de la suppression de nombreuses places de stationnement a fortement inquiété, à la fois les usagers et les commerçants, mais aucune écoute n’a été accordée à ces préoccupations. Aucune réponse n’a, non plus, été apportée à la question du financement et du calendrier des travaux. Des consultants ont été mandatés pour nous demander si nous préférons des bancs ou des pots de fleurs ; mais en réalité le projet a déjà été élaboré, sans aucune concertation. Que proposons-nous ? – L’abandon de ce projet que les Vésigondins rejettent. – L’aménagement de la place du marché en priorité, comme cela a été plébiscité lors de la réunion et par la pétition lancée par les associations (1150 signatures).

Gabrielle Carré

Tribunes parues dans « Le Mag » N° 89 d’avril / mai 2024
Des finances de la ville dans le rouge
(Le Vésinet pour vous)

La situation fi nancière de la ville devient désormais très préoccupante, avec des charges de fonctionnement qui continuent d’augmenter, un investissement qui continue de diminuer, une absence de soutenabilité budgétaire et une dette qui s’envole. Quelques éléments qui ressortent du dernier rapport d’orientations budgétaires: – Une trésorerie qui a fondu depuis le début du mandat, de 4 à 2M€. – Une forte augmentation de 20 % des charges générales en 2024, ce qui témoigne d’une incapacité à gérer le fonctionnement normal de la mairie par la majorité actuelle. – Des dépenses de personnel qui ne cessent de croître (+17 % depuis le début du mandat) du fait des multiples réorganisations des services municipaux. – Aucune précision sur le montant de l’épargne de la commune qui semble quasiment inexistante. – Un accroissement de la dette inévitable compte tenu de la mauvaise gestion des projets : la dette du Vésinet était de l’ordre de 10 M€ en 2020 ; le maire a l’a déjà augmentée de 6 M€ supplémentaires en 2022 et 2023 ; et il a rééchelonné la dette existante en l’étendant à 2037 alors qu’elle devait arriver à échéance en 2028, ce qui coûte près d’1 M€ d’intérêts d’emprunt supplémentaires. – Une baisse continue des investissements depuis le début de la mandature qui ne fait qu’aggraver la dette patrimoniale de la ville et acte la dégradation du patrimoine municipal.

Le Vésinet pour vous
S. Cabossioras, B. Burg, G. de Chamborant

La vie municipale du Vésinet à la dérive
(Le Vésinet notre ville)

Monsieur Coradetti nous répétait sans cesse lors des premiers Conseils municipaux que sa qualité d’écoute et son infinie bienveillance à l’égard de tous seraient exemplaires, nous sommes désormais confrontés à une succession d’incorrections, de menaces, de grossièretés de sa part et de celle de son équipe.

Monsieur Coradetti ne répond à aucune des questions que les administrés lui envoient par mail, il ne répond pas non plus aux questions posées en Conseil municipal. Depuis 4 ans, aucune réunion publique n’est organisée pour informer sur la place du marché, par exemple.

Monsieur Coradetti n’a pas hésité à faire évacuer les parents d’élèves de la salle du Conseil municipal par la police municipale.

Monsieur Coradetti menace une conseillère d’opposition et va même jusqu’à déposer une main courante à la police sur des propos tenus en privé.

Monsieur Coradetti envoie une lettre de dénonciation calomnieuse au président d’une association qui est représentée au Vésinet par un élu d’opposition.

Monsieur Coradetti demande pour la 3ème fois au Conseil municipal de lui accorder une protection fonctionnelle aux frais du contribuable pour poursuivre des prétendus diffamateurs, alors que les 2 fois précédentes, il n’a même pas même pas initié une action et que ce n’était que gesticulation.

Venez le vérifier vous-même, les Conseils municipaux sont ouverts à tous !

Le Vésinet notre Ville
B. Grouchko, C. Politis, F. Gluck

La dérive des projets est préoccupante
(Gabrielle Carré)

Concernant les rares projets qui avancent nous déplorons une explosion des coûts :

  • Le coût de la ZAC Princesse atteindra 15 millions d’euros fi n 2024, soit un dépassement de 7 millions d’euros.
  • Le coût de la crèche centre-ville passe de 500 000 à 1,4 million d’euros. Les dates d’ouverture du gymnase et de la crèche sont à nouveau repoussées. Les chiffres confirment que les autres projets sont au point mort : Depuis le début du mandat la vidéoprotection n’a en réalité pas été renforcée, puisque les dépenses en caméras, fibre optique et centre de télésurveillance sont nulles chaque année depuis 2021. Le budget de 600 000 euros pour 2024 correspond au 3ème report de cet investissement.
  • Les dépenses pour l’aménagement du centre-ville étaient nulles en 2023 ; celles prévues pour 2024 à hauteur de 800 000 euros ne seront destinées qu’à l’installation de guinguettes, la suppression d’un transformateur électrique, ainsi qu’à des études.
  • L’Église Sainte-Marguerite n’a pas vu les moindres travaux en 2023, il en sera malheureusement de même en 2024. Les 260 000 euros inscrits au budget seront alloués à des études.
  • L’aménagement de la maison médicale acquise 1,6 million d’euros en 2022 n’a pas eu lieu en 2023. Le budget de 800 000 euros est donc reporté à 2024.
  • Le projet de padel au stade des Merlettes n’est plus dans le budget, il est définitivement abandonné.

Ces chiffres se passent de commentaires.

Gabrielle Carré